Je suis l'auteur de tout les textes de ce blog. Les citations sont signalées par des guillemets.

mercredi 30 novembre 2011

« L'erreur est humaine, admettre la sienne est surhumain. » Doug Larson







" Elle avait enfoui quelque chose en elle, très profondément, une chose dont elle avait déjà été consciente mais qu’elle avait choisi d’oublier..."

mardi 29 novembre 2011


Rien n'est plus proche du vrai que le faux


Tu sais ce qui m'empêche de te considérer comme "mort" à mes yeux?? C'est le simple fait que, pour n'importe quel mort, j'éprouve un minimum de respect. Tu me fais autant de peine que tu me dégoûtes. Jamais plus je ne pourrais te porter le moindre respect. Si tu meurs, je te jure que je ne verserai pas la moindre larme. Tu mérites que je me venge, moi je mérite mieux. Tu vas payer un jour crois-moi, si les gens comme toi ne cours pas les rue il ne faut pas s’étonner pourquoi. C'est dans ces moments là que j'ai envie de croire au Karma... Tu regretteras, crois-moi. 


Photo prise par moi, création par Alexandra

"Il faut y croire pour le voire"



Apprenons à apprécier ce qui ce trouve à notre portée.


Photo: Genève, enfin mon nouvel appareil photo!


"Ce sont toujours les odeurs, les sons, les petits faits sans importance apparente qui sont les plus tenaces et qui, le plus souvent, empêchent les jours de sombrer les uns après les autres dans l'oubli."
 
Yvette Naubert


samedi 19 novembre 2011

Sofrer faz crescer...

La différence est dans le détail. : Automne 2011



« Je n'ai jamais compris les gens qui, sans se connaître, trouvent des sujets de conversation. 
Je crois qu'il faut se taire, se regarder en silence. 
Ou bien parler beaucoup parce que cela revient au même. »

 Jean Eustache


dimanche 6 novembre 2011

"L'habitude fait les faux amis comme l'occasion fait les faux amants." Paul Léautaud


Photo prise par Alexandra, Grèce 2010

«Às vezes é preciso mudar o que parece não ter solução, deitar tudo abaixo para voltar a construir do zero, bater com a porta e apanhar o último comboio no derradeiro momento e sem olhar para trás, abrir a janela e jogar tudo borda fora, queimar cartas e fotografias, esquecer a voz e o cheiro, as mãos e a cor da pele, apagar a memória sem medo de a perder para sempre, esquecer tudo, cada momento, cada minuto, cada passo e cada palavra, cada promessa e cada desilusão, atirar com tudo para dentro de uma gaveta e deitar a chave fora, ou então pedir a alguém que guarde tudo num cofre e que a seguir esqueça o segredo.» 

vendredi 4 novembre 2011

"Pour lutter contre le présent et créer de l'avenir, le passé est souvent l'arme la plus efficace." Julien Green


Pépito: Le chat le plus insupportable 
Je ne sais pas par où commencer. Ce doit certainement être parce que je ne sais pas par quelle conclusion je voudrais terminer. J'ai changé, je suis entrain de changer. C'est peut-être ça la maturité? Ou bien peut-être est-ce seulement une phase temporaire... Je ne sais pas. Maintenant je vois les choses autrement. Je crois très sincèrement être entrain de sortir de l'adolescence et ça me fais le plus grand bien. Ce que je ne comprend pas, c'est pourquoi mes amis les plus proches ne sont pas sur la même longueur d'onde que moi. Ça me fais un peu de peine de les voire s'éloigner, mais ce qui m'en fait encore plus je crois, c'est qu'au final ça ne m'en fait pas tant que ça. Pourtant nous vivons tous à la même vitesse, nous suivons tous un parcours scolaire similaire et nous vivons chez nos parents. Je ne sais pas ce qui a pu autant nous séparer... J'ai pris des décisions importantes. J'ai surpasser mon blocage concernant mon avenir incertain et mes ambitions auparavant inexistantes. J'ai compris que mon problème ce n'était pas de n'avoir aucunes ambitions, mais simplement de ne pas vouloir en avoir du tout. Je voulais tout, je refusais de faire le moindre choix qui pouvait me faire regretter, j'avais peur d'échouer en prenant des risques, en prenant les mauvaises décisions, j'avais peur de tout gâcher. Je me suis rendue compte après toutes ces années, que le vrai risque était de n'en prendre aucun. Il n'y a aucunes chance pour que tu finisses ton dessin si tu ne le commence pas... Réfléchis-y. J'ai eu beaucoup de temps pour y penser, mais bien plus encore pour l'accepter. Mon enfance me manquait tellement... quitter l'adolescence pour moi ne signifiait pas entrer dans le monde adultes, mais uniquement m'éloigner encore un peu de mon enfance parfaite. Cet été j'ai compris que le temps à être adolescente est uniquement le temps que je n'aurai plus étant adulte. Pourquoi perdre du temps à être adolescent? C'est sans aucun doute la période la plus horrible de toute ma vie. C'est vrai que je n'ai pas tout vécu et que je vais certainement voire et ressentir des choses horribles que jamais je n'avais vécu. Seulement voilà, la différence c'est que je sais que je pourrais me relever quoi qu'il arrive. Je sais qu'une chose qui pouvait me détruire étant adolescente aujourd'hui me fera rire. Je suis prête à surmonter toute les choses horribles qui m'attendent... car je sais que les meilleures choses auxquelles je n'ai encore jamais goûter n'ont aucunes chance contre moi. Je suis maintenant prête à me dévouer entièrement à une cause qui m'a toujours tenu à coeur depuis ma tendre enfance: La Justice. Je ne supporte pas l'idée de ne pas pouvoir me défendre face à certaine personne qui possèdent des droits que je n'ai pas, ou bien qui possèdent uniquement l'argent nécessaire pour surpasser leur droit. Je n'ai pas toujours pu défendre mon point de vue, mais je compte bien tout faire pour défendre celui de quelqu'un qui en a besoin. Je ne vais pas le faire pour les autres... Je ne vais pas le faire pour des questions de générosité ou de sensibilité. Je vais le faire pour moi, et pour toutes les personnes qui se croient tout permis dans ce monde gâché par la corruption et les intérêts. Je veux me battre toute ma vie pour toute les fois ou je me suis sentie impuissante et incapable de prouver à quel point je n'étais pas en tord. Pourquoi mes amis n'ont-ils pas grandis à la même vitesse que moi, pourquoi n'arrivent-ils pas à s'assumer comme moi, pourquoi leur centre d'intérêts n'évoluent pas comme ils le devraient...? Peut-être est-ce parce que j'ai passé une année de folie à voyage en Europe et en découvrant de nouvelles choses? Peut-être est-ce parce qu'en un mois de mon été j'ai vécu plus que dans leur année toute entière? En comptant un décès dans ma famille, un accident de voiture d'un ami à moi que j'ai vu des mes propres yeux, un séjour d'une semaine avec des inconnus, 5 flirtes, des problème de famille et un rapprochement considérable avec des personnes qui aujourd'hui sont considérées comme des membre de ma famille, la première cuite de ma vie qui m'a laissé un immense trou de mémoire, la relation avec un chanteur connu qui s'est terminé plus mal que jamais et de laquelle je n'arrive pas à me remettre? Je ne sais pas si c'est ça. Ça ne m'a pas l'aire d'assez pour faire tout le changement. Enfin bon, le fait est que nous n'avons plus du tout les même centre d'intérêts. Le sport reste toujours l'une des choses qui compte le plus dans ma vie, ce qui n'est pas leur cas. J'apprécie de plus en plus faire de nouvelle connaissances, parfois rien que par curiosité ou pour une envie de changement. L'inconnu ne me fait plus peur, il m'excite. Je voudrais avoir plein de temps libre, du temps pour aller à la campagne en vélo et apprécier une magnifique vue qui ne comporte aucune allusion à l'homme, la nature à l'état brut. Tout ça sans alcool, rien qu'avec une musique de fond et peut-être de quoi dessiner ce paysage pour le rendre éternel. Ils détestent tous l'art. Moi, il m'intéresse de plus en plus. Sans oublier que toute cette promenade sera fait en compagnie d'une personne dont je haïssais auparavant la présence lorsque je me trouvais seule avec elle: Moi-même. Je préfère passer des soirée seul dehors, entourée de rien, plutôt que des soirées seule à regarder "ma série préférée" à la tv. Je crois que je suis enfin prête à rencontrer quelqu'un, ce qui va évidemment en encontre avec la devise de ma meilleure amie, qui d'ailleurs était aussi la mienne il n'y a pas si longtemps que ça...: "Ni Dieu, ni patron, ni mari> femme rebelle et heureuse". Je ne cherche pas l'homme de ma vie non, je pense juste à une rencontre intéressante qui pourra faire partit de ma vie quoi? 2 ou 3 mois... Dans le seul but de partager quelque chose de fort, de combler ce vide d'affection et de ne pas oublier les règles du jeux de séduction. Je commence à m'intéresser de plus en plus à ma manière de m'habiller. Bien sûr, ça ne m'empêchera jamais d'être ami avec quelqu'un qui s'habille extrêmement mal, NON. J'ai simplement compris que les apparences, avant de n'être que l'extérieur de nous, sont surtout l'endroit ou tout le monde s'arrête, sans chercher à aller voire plus rien. C'était amusant de faire sa rebelle en s'habillant mal à toutes les soirées de bourges ou en parlant mal à tout mes professeur  extrêmement polis mais... Comme je le dis souvent, je ne suis pas encore au pouvoir de changer ces manières de faire qui sont systématiquement identiques mais... "Le meilleur moyen de faire tomber un gouvernement, c'est d'en faire partit". Je ne voulais pas en arriver là, car j'ai toujours eu peur de me perdre au jeux et de devenir un des leur. Aujourd'hui j'ai le courage de foncer. Je caresserai tout ces gens détestables dans le bon sens du poile uniquement pour qu'ils me laissent entrer chez eux et que je leur fasse une petite coupe pendant qu'ils dorment! (Ce ne sont que des métaphores). Oui, je vais faire un effort sur ma manière de me comporter et sur le reflet que je vais dégager. Mais ce n'est pas parce que je me crois supérieure à mes amis ou parce que je veux leur montrer que je ne suis pas comme eux, c'est simplement parce que les gens sont tous cons et vide d'esprit, et que c'est jusqu'ici le seul moyen d'avoir une chance de pouvoir tenter la réussite. Ils ne comprennent pas ça. Je suis toujours la même personne, j'ai juste compris beaucoup de chose qui me font agir et penser différemment. Ma motivation à simplement tellement augmenter qu'elle m'a permis d'avoir confiance en ma réussite. Ça faisait longtemps que je n'avais pas ressentie ça. Je ne sais pas, j'apprécie de plus en plus les soirée tranquille à marcher par n'importe quel temps à parler de la philosophie de la vie et se poser une infinie de questions toutes plus intéressantes les unes que les autres, et tout ça sans alcool. J'ai un point de vue sur à peu près toutes les choses qui me sont connues, un point de vue que je sais d'ailleurs défendre. Ça me sidère de voir à quel point ils ne se posent aucunes questions à propos de rien, à quel point vivre leur vie de large bien au chaud près de maman puisse leur suffire. Il y a tellement plus... Être un pion dans la société, voilà ce qu'ils sont. Moi je veux être plus. Je veux que ce que je vais faire dans ce monde soit reconnu PARTOUT, sans forcément que je le sois moi-même. Ça me faisait flipper de n'avoir aucunes ambitions, et maintenant c'est pour ceux qui n'en ont pas que je crains le plus. Être une adulte n'as pas beaucoup de signification après tout, pour moi ça veut avant tout dire que je ne suis plus une adolescente... Il n'y a pas d'âge pour devenir adulte, moi c'est à mes 17 ans, le 18 septembre 2011 que je le suis devenue. 

«Je ne serai jamais une grande artiste, mais, en travaillant, je peux encore espérer en devenir une bonne.» Marilyn Monroe

L'ennui donne des ailes



J'adore ce temps. Il fait froid, mais le soleil ne se laisse pas faire. Les feuilles tombent mais ce n'est que le début. Le paysage change doucement, on commence enfin à mettre un point finale dans l'histoire extraordinaire qu'a été cet été. C'est le calme avant la tempête, c'est les vacances d'octobre. Je pensais être passé au-dessus, c'est vrai je suis passé. Je suis juste dans une petite période d'indifférence. J'aime ce sentiment. Je ne souffre plus vraiment, puisque ça dure 24h/24. Je me fond dans ce paysage encore vert, je gèle à cet arrêt de bus en regardant passer les gens. Ça y est, j'ai le courage d'y repenser, j'arrive à nouveau à écrire comme si je planais. Cette soirée a changé ma vie. Pas une seule nuit ne s'est passé sans que je me refasse la soirée en boucle depuis ce jour-là. Je suis enfin sortie de cette tornade, mais depuis l'extérieur tout me paraît encore plus impensable. Je me contredis. Déceptions. Je suis dans cette phase tu sais. Je ne veux pas que tu comprennes, mais je veux que tu saches pourquoi tu ne comprends pas. Je veux écouter de la musique sur un banc et observer mes erreurs. Je veux comprendre. Je regrette, j'ouvre les yeux. Et puis je ne vais pas si mal... je ne sais plus ce qui est pire? Être naïf et ne se rendre compte de rien ou bien se rendre compte de tout ce mal sans pouvoir faire quoi que ce soit pour pouvoir changer les choses? Je me sens impuissante, et puis je ne veux plus me battre en fait. Un trêve. Je vais laisser le temps passé et j'aimerai tellement pleurer un coup tu te rends pas compte. J'aimerai tellement réussir à me confier entièrement à quelqu'un. Je pense sincèrement que je me sentirai mieux, du moins sur le coup... Mon coté artistique se développe mais je n'arrive pas à le faire sortir hors de moi. Je me laisse coulé au fond de cet océan dangereux. J'attends mon heure. Je voudrais tellement vous dire... mais pourquoi vous ne voyez rien, pourquoi vous pensez ça de moi, pourquoi tant de stupidité, pourquoi vous me parlez comme si c'était normal... Beaucoup trop de pensées pour un seul cerveau handicapé. Je voudrais juste que ce soit différent, que vous soyez différent. Oh et puis aller vous faire foutre. Mes songes s'évadent, moi avec. Je veux revenir, mais je dois m'absenter, je laisse mon corps ici et puis je m'envole un moment. Plus rien n'est sûr, plus rien n'est grave, plus rien n'est. Plus de sens ni de logique, plus rien ne compte. Laisse-moi un moment avec moi-même. Je veux tout, ou bien peut-être rien. Je veux vous prouver qui je suis, je veux réconcilier ma famille, je veux être enfin prise au sérieux, je veux me démarquer, je veux comprendre et vous expliquer, je veux vous faire évoluer ou en tout cas vous montrer à quel point vous n'avancez pas, je veux prendre un bain brûlant dans un parc, je veux écouter cette musique en boucle, je voudrais tellement avoir la possibilité de te gifler, de te cracher dessus , de t'insulter sans même te laisser répliquer, je voudrais reprendre la boxe, je veux des crampes, je veux parler assez pour vous faire taire, je veux juste que vous voyez la vérité... Je veux comprendre pourquoi j'ai commencé ce texte et pourquoi j'ai mal. Je veux aimer. Je veux arreter d'écrire.

mercredi 2 novembre 2011

L'espoir est un racourci vers une décéption...





You DON'T know me



C'est l'expérience qui fait la différence.

Porto, en attendant l'autocar

Tout va changer, tout es entrain de changer. Je n'oublies rien, je ne t'ai donc pas oublié c'est vrai. Et je sais bien que ça ne se fera pas tout de suite... Mais ce n'est rien. Maintenant je vais vivre avec. J'ai fais ma dernière erreur bête de ma jeunesse le 7 octobre 2011, même s'il y en aura d'autre... ça ne sera plus comme ça. Il n'y aura plus de regrets. Je vais accepter de m'éloigner de certaines amitiés d'enfance qui n'ont désormais plus rien à voir avec moi. Je vais accepter de me rapprocher de certaines personnes que j'apprécie sans me sentir coupable de quoi que ce soit. Je vais me reprendre physiquement, et ce n'est sûrement pas (plus) pour plaire à quelqu'un d'autre qu'à moi. Je vais travailler, je vais morfler, je vais réussir seule sans l'aide de personne et je ne vais plus m'en plaindre. Je vais en être fier, et personne ne pourra me l'enlever. Je vais économiser, quitte à oublier les soirée arrosées pendant un moment. Je vais trouver du travail et m'acheter mon propre appareil photo que je ne prêterai à personne. Je vais marquer au prochain de mes matchs, et je ne vais certainement pas contenir ma joie pour que certaines personnes ne se sentent pas rabaissées. Je ne vais plus regarder ton profile tu sais. Si t'as des couilles tu feras c'que t'auras à faire et c'est tout. Je vais m'en foutre, ou bien je vais tellement faire semblant de m'en foutre que moi-même je vais finir par y croire. Je vais m'acheter des talons rouge pétant et attirer l'attention que tu le veuille ou non. Je vais ignorer ton existence sans ressentir le besoin de remplacer par quelqu'un d'autre la place que j'aurai voulu que tu occupe. Je vais me rapprocher de ma famille et m'éloigner de certains amis. Je ne vais plus demander aucuns service à personne, quitte à me mettre dans la merde. Je vais changer de coupe chez un bon coiffeur, et je vais le payer avec MON argent. Je vais aller me faire épiler le maillot intégral et sans personne pour me soutenir, je vais aller faire du shopping toute seule quand j'aurai un moment de libre. Je vais ME satisfaire et me suffire à moi-même. 

"Ce qui compte aujourd'hui, c'est l'apparence: quand tu ne parais pas, tu disparais." Smaïn

Été 2011, départ pour un monde meilleur

Ça y est, je pense être sur le point de me retrouver. Enfin du moins, je me rend bien compte à quel point je m'étais égarée. J'ai d'abord pensé que cette absence d'envie d'écrire était un bon signe, que ça voulait simplement dire que j'arrivais désormais à m'exprimer à travers mes actions et plus à travers ces textes stupides que personne ne lira jamais. C'était faux. J'aime écrire depuis toujours, ça  ne dépend en rien d'un état d'esprit ou des personnes que je côtoie au quotidien non, j'aime écrire ou que je sois et quoi qu'il arrive, c'est tout. La seule raison qui m'a fait ne plus écrire était du à un manque de temps et peut-être aussi un manque de volonté qui sait, mais peu importe. L'important c'est que je reprenne cette habitude, car elle m'aide énormément. Elle ne m'apporte peut-être aucune réponse, mais au moins elle m'aide à me poser les bonnes questions et dans le fond, c'est tout ce qui compte réellement. En arrêtant j'ai pensé être devenue moins timide, plus sur de moi et plus sociale, j'ai pensé être capable de beaucoup de choses improbable et j'ai pensé avoir changée en bien. On ne change pas, on grandi, on apprend de nos erreur et on s'efforce à être meilleur, mais à aucun moment on ne change. Tout changement est faux car il ne nous correspond pas, et toute chose fausse est mauvaise et finira tôt ou tard par détruire une par de nous, ou pour les plus chanceux à se détruira elle-même. Je crois que ce qui m'a permis de voir à quelle point je m'étais égarée est le regard des autres. Bien que jamais personne ne saura exactement qui vous êtes et de quoi vous êtes capable à l'instant ou vous faite connaissance, il peut en avoir une idée plus ou moins juste, surtout après une semaine entière de vie commune. Je suis partie à Nice et je me suis clairement rendue compte de la sale image que je projetais de moi sans même m'en rendre compte. Je me suis également trompée sur certaines personnes qui ont finis par faire leur preuve, mais jamais personne ne s'était autant trompée sur moi. Je me suis rendue compte que les riches aussi pouvait être des personnes extrêmement généreuses et agréables à vivre. Peut-être ai-je trop voyagé cette année, peut-être ai-je été séparée trop de fois de ma petite vie, de mes habitudes et de mes repère au point de laisser ma personnalité se perdre dans ces banals trajets d'avion? C'est vrai après tout, je ne sais pas pourquoi, mais souvent, lorsqu'on se trouve loin de sa maison, de ses parents, de ses amis et de son Pays... On se sent différent. On change totalement de personnalité, on devient plus tolérant ou plus irritable, plus confiant ou totalement parano. On fais des choses qu'on n'aurait jamais été capable de faire en temps normal, on s'éloigne bien souvent de toutes ces petites choses qui nous caractérisent si bien. Au point de devenir différent... enfin, disons plutôt de le sembler. Quels sont les arguments à ce changement éphémère de personnalité? Oh, je suis à Nice ça va! ou encore... "On s'en fou on est en vacances!" Ces arguments ne valent strictement rien. Au contraire, ils sont vraiment moins que rien. Ce n'est pas du climat, d'une période l'année ou d'un Pays que devrait dépendre notre personnalité. C'est quelque chose de personnel comme son nom l'indique, elle ne devrait donc que dépendre de nous-même. Peut-être suis-je tombée dans cette erreur de débutant et me suis-je comportée différemment? Nous sommes tous les même quand on y pense, seules nos apparences et nos choix peuvent faire de nous des gens spéciaux. Je suis spéciale. C'est facile à dire vous me répondrez, mais comme je l'ai dis, il faut se poser les bonnes questions. Ici ce serait sans doute "pourquoi?"... En fait, mon envie d'être différente des autres m'a complètement handicapée dans ma vie. J'ai toujours été le mouton rebel qui refuse de suivre le troupeau et qui finis enfin par se faire bouffer par un prédateur sauvage parce qu'il est seul, et bien que ça force d'esprit soit supérieure à toute celle des autres, seul il n'ira strictement nul part, il est faible et vulnérable. On n'échappe pas à la mode, aux préjugés. Il est dans notre devoir de les suivre pour survivre. J'ai compris ça il y a 2 jours, en parlant avec des gens ambitieux. On ne lutte pas contre le système. Vouloir y échapper c'est se battre dans une guerre qui ne laissera que des perdant. Je crois me connaître enfin suffisamment pour savoir que je peux rester vraie dans les combats qui tendent le plus a nous changer. Alors oui, je vais suivre le troupeau. Oui, je vais être le pion de la partie. Oui, j'aurai cette maturité qui ne laisse perplexe et oui, je me conformerai au système... Mais tout ça dans un seul et unique but: Apprendre à le connaître, apprendre a anticiper ces moindres mouvements jusqu'à ses plus gros points faibles. C'est a ce moment-là que je pourrait passer du stade de pion à celui de joueurs de talent. Seulement je ne jouerai pas avec n'importe quel point non, je jouerai avec ceux qui ont pu penser que je ne valait pas plus qu'un simple mouton incapable de suivre sont propre chemin. Parce que oui, c'est bien d'avoir ses propres idées et d'aller ou bon nous semble... mais c'est tout sauf la vraie vie. Je me suis jurée d'être vraie jusqu'au bout et je m'en sens capable. Je me suis jurée de ne jamais lêcher là ou je crache et de ne jamais rire avec des personnes que je voudrais voir souffrir. Seulement voilà, la vérité est bien plus moche que ça... La vérité c'est qu'on obtient toujours plus que choses avec un sourire plutôt qu'avec des menaces. 

Nous avions au moins un point commun: Je l'aimais et il s'aimait...

Bragança, la meilleure de toutes les villes. . .

Je n'en peux plus de cette attente infernale... Achève-moi, arrête de me laisser agoniser comme ça! Il n'y a rien de pire... Fais-le, et je pourrais regretter, je pourrais pleurer toutes les larmes de mon corps, je pourrais faire sortir tout ce mal qui pourrit en moi depuis que je t'ai fais partir. Là, je pourrais aller de l'avant. Vide, faible, mais j'avancerai. C'est tout ce qui compte. C'est pour toi que je veux être quelqu'un d'important. C'est pour toi que je vais réussir. Je veux que tu te rende compte de qui était la fille que tu as traité comme une merde, comparé à toi. Je vais être mieux que toi, et plus jamais ne laisserai aucun garçon me nuire après toi. Je vais devenire forte, talentueuse, ambitieuse, je vais devenire importante et redoutable. Je veux que tu reviennes, pour que je puisse te repousser. Je veux t'oublier. Aujourd'hui c'est ton anniversaire, tu fais 27 ans. Moi je n'en ai que 17. Je me sens tellement petite dans cet immense univers, mais tout vas changer. Il ne manque plus que ce minuscule déclique. Ma douleurs m'enfonce. Bientôt, elle me relèvera. Finissons-en, tu-moi! Et par la même occasion, arrête de me hanter d'accord?!!!! Je ne peux même pas en parler autour de moi, il faut que tout le monde pense que je m'en fou, il faut que tout le monde le crois, il ne faut pas que je montre la moindre faiblesse, il faut que je fasse parler de moi et que ça vienne à tes oreilles. IL FAUT que tu te considère comme moins que rien lorsqu'il s'agit de penser à ce que je peux ressentir pour toi. Je veux te rabaisser, pour que tu te sente aussi mal que moi, ou presque...

dimanche 4 septembre 2011

Celui qui se perd dans sa passion perd moins que celui qui perd sa passion. Saint Augustin



Photo: Paradinha de Outeiro, une belle promenade d'été

Dans tout les cas, aujourd'hui ou dans un ans, chez moi ou au maroc, il est évident que l'un finira par faire du mal à l'autre. Je ne suis pas du genre à laisser les gens me faire du mal, je n'ai certainement pas besoin d'eux pour ça. C'est pour cette raison que je fais le premier pas, c'est moi qui détruit tout à chaque fois et je le fais exprès. Pourquoi? Parce que même si c'est plus douloureux, je préfère avoir mal et n'avoir que moi-même à qui en vouloir, plutot que d'avoir mal en repensant à celui qui m'a fait souffrir. Je ne serais la victime de personne, à part la mienne bien sûr. Je suis consciente de ce que je fais, je suis consciente du mal qui stagne autour de moi. Ai-je le droit de me plaindre? Ai-je le droit de montrer à quel point j'ai mal, est-ce que je peut me permettre d'être malheureuse sans me forcer à sourire, après toutes les larmes que j'ai fais couler? Pourtant c'est fou, je ne pense pas avoir l'intention de changer. Simplement parce que l'autre porte qui s'ouvre à moi m'a l'air encore plus suspecte. J'ai peur. J'aimerai être différente, mais je ne veux pas changer. Est-ce que vous voyez la nuance...?

La liberté ne se donne pas, elle se prend. Reine Malouin

Photo: Nice, les vacances les plus extravagantes de toute ma vie 

Prendre des risques, c'est s'exposer à une possibilité de perdre. Rire, c'est prendre le risque de paraître stupide. Pleurer, c'est prendre le risque de paraître sentimental. Aller vers l'autre, c'est prendre le risque d'un engagement. Montrer ses sentiments, c'est courir le risque de dévoiler au grand jour son moi profond. Exposer aux autres ses idées et ses rêves, c'est risquer leurs moqueries. Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour. Vivre, c'est risquer la mort. Espérer, c'est risquer la déception. Essayer, c'est risquer l'échec... Et pourtant nous devons prendre des risques, car le plus grand péril dans la vie est de ne prendre aucun risque. Celui qui ne risque rien ne fait rien, n'a rien et n'est rien. Vous pouvez peut-être échapper à la douleur et au chagrin en ne prenant aucun risque, mais alors vous ne pourrez tout simplement ni apprendre, ni ressentir, ni changer, ni grandir, ni aimer, ni vivre. Seul est libre celui qui ose prendre des risques. Albert Coccoz

Malheureusement il est également libre de souffrir. Je souffre de cette liberté.

vendredi 17 juin 2011

" Une femme intelligente, embrasse sans aimer, écoute sans y croire et part avant d'être abandonnée. " (Marilyn Monroe )


"Cada espaço vazio em mim é preenchido por uma dor total."

C'est comme si je photografiais un miroir. . .


Je passe ma vie à chercher des citations ou des punchlines qui me correspondent pour les poster sur des sites, comme si j'avais envie qu'on me connaisse...
Pourtant dès que tu t'approche de ce but, je ne peux pas m'empêcher de te mettre une laisse...

mercredi 8 juin 2011

«Tout le monde révèle ses faiblesses à une personne faible.» C'est à vous que je me confie.


"A partir de ce jour ,
 je courrais tout le temps pour aller partout ,
sans forcement penser que ca me menerait quelque part."

 Vivre à 300 km/h, c'est vivre trop vite pour avoir le temps de s'apercevoir des belles choses discrètes, mais pourtant bien présente dans cette petite vie. C'est vrai, à quoi bon passer une soirée inoubliable si ce n'est pour avoir le temps de se la remémorer avec ces Êtres si importants à nos yeux? A quoi bon se rapprocher d'une personne durant une soirée si ce n'est pour prendre le temps de la revoir? A quoi bon vivre aussi bien, si nous n'avons même pas le temps de se rendre compte du bonheur que nous vivons? Pourtant il ne se cache pas, il suffit d'y penser pour le vivre. Encore faut-il avoir le temps de penser à ces choses là... Alors trouvons ce temps. Non, ce n'est pas si simple: Car si vivre à 300 km/h nous empêche de nous apercevoir des belles choses discrètes de nos vies, cela nous empêche également de nous apercevoir des mauvaises... Là, ça devient plus intéressant, vous ne croyez pas? On se fait briser le coeur, et puis on va à la recherche de quelqu'un d'autre, une autre distraction. Généralement elle finit par devenir plus malgré nous, et là bien entendue on souffre encore plus. Sans perdre une seconde on passe au suivant, etc. Un jour, quand on en aura le moins besoin, on aura du temps. La nouvelle distraction ne sera pas au rendez-vous et puis il y aura un vide. Un vide pour penser, un vide pour faire le point, pour accumuler toutes les sensations enfuis à l'intérieur de nous au fur et à mesure de notre vie, un vide pour souffrir, un vide pour pleurer. Tu sais, ce que tu garde pour toi ne disparaît jamais, mais ces choses-là deviennent de plus en plus amer, et que tu finis par sentir le goût... je t'assure que tu t'en souviens. Ça n'arrive pourtant pas souvent, mais croyez-moi, lorsque ça arrive, c'est bien pire que tout. On prie pour que ça s'arrête, on regrette, on désespère et puis on aperçoit une touche d'espoir, qui s'avère à chaque fois être faux. Aujourd'hui, c'est un jour avec un vide, c'est un jour sans. Un très mauvais jour. Le pires dans ces journées là, c'est qu'elles durent très souvent plus de 24h et qu'on sait éperdument que c'est loin d'être la dernière. La question est: est-ce que ça vaut vraiment la peine de passer à coté de tout ce bonheur, pour la simple raison de passer également à coté du mal, qui d'ailleurs finit tôt ou tard par nous tomber dessus... Les lâches vous diront que oui, moi je me contenterai d'hocher la tête.

Photo: c'est là ou il n'y a rien qu'on trouve le plus de choses. . . Paradinha City

vendredi 3 juin 2011

En passant partout, c'est à coté de sa vie qu'on finit par passer...

Oui, c'est moi
Et puis au fond, pourquoi être raisonnable? Est-ce quelqu’un s’en souviendra? Apparemment on ne retient que le choquant, l’exagéré… Est-ce que je changerai la vie de quelqu’un en étant moi-même? Je pense que parfois (le plus souvent possible), il faut savoir se lâcher. On va tous grandir, on sera tous un jour ou l’autre confronté au sérieux, aux responsabilités… à quoi bon se préparé dès maintenant, on aura tellement de temps pour l’exercer… ? Je crois en mes valeurs et je les suit, mais parfois on se souviens du jour ou ça s’est passé mal en oubliant les autres… Vivre pour oublier ce qu’on a vécu, c’est triste non? Alors autant vivre intensément même si c’est pour se souvenir de mauvaises choses, au moins on s’en souviendra! J’ai toujours fait attention, veillé a ne pas sortir du droit chemin, mais tu sais quoi ? Je n’ai rien gagné en échange, j’ai même attiré la poisse à chaque fois. Alors autant devenir quelqu’un d’ordinaire épanoui qui frôle la mort plutôt que de rester moi et de frôler la vie… Je veux danser, je veux t’embrasser, je veux vous prendre dans les bras, c’est vrai, je veux vous montrer combien je vous aime au fond, je veux crier, je veux courir dans un champs bourrée jusqu’à ce que je m’éclate par terre, je veux des turbulences dans mon avion, je veux te faire l’amour sous la douche, je veux faire du sport et manger des mandarines, je veux forcer mes muscle jusqu’à la crampe, je veux être belle et aimer, je veux me brûler à force de sentir ta chaleur, je veux chanter jusqu’à en perdre ma voix, je veux entendre ton rire en boucle, je veux voir ta beauté jusqu’à m’en crever les yeux, je veux du soleil et de la neige, je veux tout, et je veux tout le monde à mes cotés… Je veux que tout mes silences deviennent des évidences…


"Why try so hard to fit in, when you were born to stand out?"

dimanche 29 mai 2011

«I'm all strung up my heart is fried, I just can't get you off my mind...»


"J'ai beau faire le tour du monde mais tout me ramène à toi, t'es partout à la fois!"
Photo retouchée par moi, mes racines, ma vie, ma Terre <3


La première règle de la compétition: pour gagner, il faut vraiment en avoir envie.
C'est un jeux... Et si j'ai accepté de participer, c'est uniquement parce que j'étais sûre de gagner la partie. Je ne savais pas qu'on pouvait perdre autant de choses en en remportant une... A quoi bon regretter? Si on me donnait la possibilité de tout changer, je refuserai, je me connais. Parce qu'agir différemment ferai de moi quelqu'un de mieux, mais avant tout quelqu'un que je ne suis pas et que je ne serai peut-être jamais.

lundi 16 mai 2011

‎''Be my distraction.''

Photo prise par Fabien, Madrid

Pourquoi j'ai fais ça? J'en avais plus envie que lui, voilà pourquoi je l'ai repoussé. Au moment ou il s'est approché, je savais que si on s'embrassait, que si on se laissait aller par le désir, je savais que j'allais aimer ça plus que lui. Je savais que pendant ses prochaines soirées à embrasser d'autres fillettes naïves, moi j'aurai été dans mon lit à souhaiter rêver encore de ce moment en m'endormant. Je savais que si je le recroisais le jour suivant, mon envie aurait été trop forte pour la dissimuler dans mon regard. Il l'aurait vu, il aurait su. Non, jamais je n'aurais pris ce risque, jamais je ne l'aurai laissé être plus important pour moi que moi je ne le suis pour lui, JAMAIS. J'en souffre peut-être, oui peut-être qu'en souffrir autant ça le rend tout aussi important, mais non en fait! Tu sais pourquoi? Parce que ça, il y a que moi qui le sait. Et comme le proverbe le dit si bien: "Ce qui n'est pas dit n'a jamais existé". Pour l'instant j'ai besoin de le faire sortir, mais d'ici quelques semaines je supprimerai ces textes et j'arriverai à me convaincre que tout ces sentiments n'ont jamais existé. Oui, d'ici quelques semaines les vagues de mon océan intérieur viendront nettoyer tout ce merdier. Là, je serai mieux, je serai bien. Tu verras...


Je me détruirai si c'est la seule façon de te détruire en moi.

mercredi 11 mai 2011

"Ne me poursuit plus... à moins que tu sois prêt à m'attraper." Grey's Anatomy

Photo: Les gratte-ciel de Madrid, par Vanessa
L'impatience de la semaine à freiné mon envie d'écrire. C'est vrai, j'ai remarqué que j'écrivais lorsque ça ne va pas. Pourquoi l'inspiration ne vient que dans ces moment-là hein, tu le sais ça? C'est égoïste, comme de prier uniquement les mauvais jours... Cette semaine j'étais bien, je m'étais rapprochée de lui, enfin disons plutôt que c'est lui qui s'est rapproché de moi. Le jeux de séduction m'avais manquer, mais bon tu sais c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas. On fait un pas, on recule et puis on se rentre dedans. Ce qui m'a plu plus que le reste, c'est que nous étions sur la même longueur d'ondes, celle de la séduction pure et passionnée. Pas de sentiments, pas de chichi, juste deux personnes qui s'amusent et qui passe une soirée agréable. Ça aurait pu se passer comme ça c'est vrai, mais bon c'est connu, toutes les soirée prévu à l'avance ne se passent jamais comme on l'a vait pensé... T'es vraiment la plus grosse pute que je connaisse mec!



"Des fois j’me dis que j’suis pas née dans le bon sens, genre j’suis sortie d’ma mère à l’envers et les mots qu’j’entends j’les entends à l’envers, les gens que j’devrais aimer j’les hais et les gens qu’je hais..." SKINS

mercredi 4 mai 2011

"L'important n'est pas de gagner ou de perdre, l'important c'est la manière de jouer. Vous ne croyez pas ?"

"I've got the sun in my pocket and the moon in my hands"


Photo prise à Rome/ La dernière: les pieds de Caroline

T'as remarqué que dans "tomber amoureux" ya le verbe "tomber"? Que dans "écoeuré" ya "coeur"? Que si t'enlève une lettre au verbe "aimer" ça donne l'adjectif "amer"? Tu sais bien que le rouge, couleur du danger, reflète également la passion...Tu pense que c'est une coincidence toi? Vraiment? Pas moi. Je pense que tout les êtres humains ayant vécu avant nous, nous-même ainsi que ceux avenire avons avions, avons et aurons tous compris le pourquoi. Depuis toujours on le sait, l'amour nuit à la santé. On devient de plus en plus exigeant, donc de moins en moins satisfaisant. C'est durre de correspondre à quelqu'un, mais quand on l'est... Ca peut marcher un moment, mais jamais éternellement. C'est mon avis. Je ne suis pas pessimiste, réaliste serai le mot le plus approprié je dirai. Personnelement je pense que je serai capable d'aimer une seule personne toute ma vie, je pense... Donc en théorie, oui ça marche effectivement. Mais regarde autour de toi et appui-toi sur les couples réels. Ils se lasseront, se sépareront ou se tromperont. S'ils sont assez cons, il se pardonneront et continueront. Ceux pour qui ça a le mieux marché sont les "laches" qui ont eu des enfants avant que ça ne partent en vrille. Ils ne se sont pas séparé afin de ne pas affecter leur progéniture, et maintenant qu'ils sont assez grand pour comprendre... à quoi bon? Ils sont epuisez par la sueur et les années, ridés jusqu'au bout des pieds... à quoi bon ruiner le peu d'argent qu'ils ont afin de divorcer? Se trouver à la rue et sans etre capable de plaire à qui que ce soit hein? Autant rester ensemble! C'est comme ça que je pense que ça se passe. Je crois que les couples de vieux qui meurent heureux n'ont pas vécu assez de chose avec leur moitié pour que les problèmes arrive. Mais si nous avions l'éternité devant nous, je vous assure que personne ne formerait le petit couple parfait indéfiniement. "Jusqu'à ce que la mort nous sépare..." Normal qu'on le dise, on sait qu'on mourrera dans quelque années! et on lui dit qu'on l'aimera pour l'éternité... uniquement parce qu'on ne l'a pas, cette éternité. Le jour ou nous l'aurons et qu'à nos mariage nous dirons: "Pour l'éternité..." On en reparle. Voilà mon point de vu. C'est pourquoi les films d'amours devraient être rangé pour moi dans le rayon science-fiction. Pardon d'être trop dévoilée dans la moitiée "négativités de la vie" mais... Je crois pourtant au pouvoir de la foi, de l'espoir sur le corps et l'esprit. Pourtant je suis incapable d'y croire, je t'assure, j'en rêve... mais ça m'est impossible. Quand on ne sait pas, quand on est pas sur, quand on a pas vécu ou vu, on peut douter, espérer... Moi je ne peux pas faire semblant de ne pas savoir.

"Plus personne ne peut entrer, mon coeur affiche complet." (La Fouine)

Madrid, photo prise par Elisa

En 3 semaines il s'est passé plus de chose qu'en un ans habituel. C'est comme si j'avais vécu 2 ans de plus, comme si j'avais 19 ans. J'ai fais du bon, j'ai fais du mauvais. J'ai eu des remords, j'ai eu des regrets. Des moments d'égarement et puis aussi des évidences... Je me suis posé des questions, un tas! J'ai vécu, j'ai vu, j'ai compris et j'ai finalement partager mon expérience. Beaucoup d'erreurs... mais il en fallait. Des nouveaux amis, des nouveaux amants, des nouveaux inconnus qui auparavant étaient des amis, ou finalement pas tant que ça. On évite de parler de certaines choses, on répand certaines idées... On se laisse aller, on laisse son corps se poser au fond de cette océan et puis soudain, on se rappel de ramener certaines personnes à la surface. Sans même se rendre compte, en sauvant les autres ont finis par s'épargner nous-même... 3 semaines de sensations fortes quelque soit l'endroit, en Espagne ou en Suisse, dans un bar ou dans une salle de fête. La Folie, c'était ça. Suivie d'une bouffée de responsabilité, c'était ça, la vie, la vie comme je la voyais dans mes rêvent les plus agréables. C'est fini et pourtant je vie encore... Comment? Je ne le sais pas plus que toi. Peut-être qu'en ce moment je me contente uniquement de survivre... Oui, ça doit être ça.