Je suis l'auteur de tout les textes de ce blog. Les citations sont signalées par des guillemets.

lundi 14 mars 2011

«Prisonnière de ton rire, esclave de ton corps.»

Photo prise par moi, été 2009, promenade en touriste dans une ville chaleureuse

On dit que les gens les plus forts, les plus remarquables, c’est ceux qui ne tombe pas amoureux... enfin, tu vois ceux qui ont « un cœur de pierre ». Souvent on les envie, on ne les voit pas vraiment épanouis mais jamais anéantis. On se demande comment ils font, on voudrait être comme eux, ne serait-ce qu’une seconde, ils sont un exemple qu’on s’efforce de suivre sans réussir. On se dit qu’on est trop faible, qu’ils ont dû être né dur et costaud, que ce sont eux les warriors dans l’histoire. Leur âme parait pure et transparente, leur cœur parait plus que fidèle et vivant car jamais il n’a été endommagé, ont aimerait tous ressentir leur courage et leur bravoure rien qu’un instant. On se trompe. Tout ça, tout ces préjugés, tout est faux. Les « cœurs de pierre » sont les personnes les plus lâches qu’il puisse exister. S’ils ne tombent pas amoureux ce n’est pas parce ça n’est pas pour eux une priorité, mais ils se l’empêchent… pourquoi ? Parce que leur cœur est beaucoup trop fragile, parce qu’ils n’ont pas les couilles de se jeter à l’eau, parce que ce sont des peureux qui pensent mourir en se prenant un plateau. Ils sont faibles, ils ont donc besoin de se protéger. Ils n’osent rien tenter, car ils ont peur de la douleur de l’echec, ils ont peur de ne pas la supporter. Et comme « qui ne tente rien, n’a rien », ils finissent pour la plupart sans rien, désespérés. Ils souffrent plus que n’importe qui par leur comportement de lâche alors qu’eux seuls peuvent le changer, et ils le peuvent… Ils savent tout ça, mais ils se mentent à eux-même et aux autres, ce sont donc de loin les moins pures de tous. Ils sont navrants, désespérants et ils le savent, ne croyez pas qu’en leur disant vous allez pouvoir éveiller une éventuelle sensibilité en eux, tout ça ils l’ont rangé de coté. Perfectionnistes, ils se disent que, puisqu’ils ont foiré, autant le faire jusqu’au bout, au moins ils auront réussi à faire quelque chose à fond, même si cette chose est négative. Ils regardent souvent les amoureux, les sensibles, les sentimentales de haut, ils leurs reprochent toutes sorte de choses, ils les insultent, disent de pas les aimer, ne pas les comprendre… Mais en réalité ce qu’ils ne comprennent pas c’est ou ils peuvent bien aller chercher tout ce courage pour autant tenter, toute cette force pour à chaque fois se relever… Peut-être qu’une explication leur serait bénéfique, oui… mais ils sont bien trop fier pour l’a demander! Je le sais parce que je connais bien quelqu’un de la sorte, quelqu’un que je vois tout les jours et qui se trouve en ce moment devant moi… Dans ce miroir.

vendredi 11 mars 2011

«Ouvir o que nunca ouvi, ver o que nunca vi nem conheci...»

 Photo prise par moi, un jour, en manque de nature dans ce monde pollué

C'est un jeux... Et si j'ai accepté de participer, c'est uniquement parce que j'étais  sûre de gagner la partie. Je ne savais pas qu'on pouvait perdre autant de choses en en remportant une. C'est vrai j'ai connu de meilleures victoires... mais tu sais quoi? Je le referai sans hésiter...

«J’ai commencé à te haïr au moment où tu m’as obligé à te désirer.»


La photo ne vient pas de moi, malheureusement... Le meilleur acteur de tout les temps



J'ai pris peur quand tu m'as déclaré tes rêves, moi je voulais croquer la vie, toi tu voulais croquer mes lèvres... Tu m'as demandé mon avis, je t'ai demandé une trêve, tu n'avais pas l'air ravi, mais mon coeur était en grève... Tunisiano





C'est la nostalgie qui s'installe; C'est la motivation qui s'fait la mâle. Comme si rien ne me retenait. Repartir là-bas rien que pour quelques instants dans leurs bras; Rien que pour entendre leurs rires aux éclats. Tout ça me paraît si loin, mais si proche à la fois. Je sais que ça ne sert à rien; mais c'est plus fort que moi, repasser les photos et les musiques de là-bas. Les souvenirs défilent et une fois la bande terminée je rebobine. Je voudrais tant aller les retrouver.. NON! Ce que je voudrais c'est ne jamais avoir dû les quitter. Si je me rappelle sans arrêt le passé, c'est que le présent n'est pas à la hauteur pour s'imposer. C'est une baisse de morale qui grandit, mais qui fait apparaître des sourires aussi. La lassitude d'être ici amplifie l'impascience d'être là-bas, qui normalement ne se ressent pas si fortement.

samedi 5 mars 2011

«Une chose dont on ne parle pas n'a jamais existé.»

Photo prise par moi, les pensées égarées...
Je ne me conecterai plus sur internet, pour ne pas avoir à t'attendre. Je ne regarderai plus autour de moi, pour ne pas prendre le risque de te voir. J'arriverai tout juste à l'heure, pour ne pas te croiser devant une classe. Je ne te ferai plus la conversation, pour qu'à force tu te lasse de me la faire. Je ne parlerai plus de toi à personne, pour que peu a peu tu n'existe plus. Je vais te faire disparaître, comme si jamais tu n'avais vu le jour... Tu verras, je sais que je vais réussir.

«Présent je te fuis, absent je te trouve.»


Photo prise et retouchée par moi-même, dans les rues de lisbonne

      “J'ai oublié de tomber amoureuse depuis quelques années. J'ai oublié d'imaginer de quoi seront faites les années prochaines; Et quand on me parle de l'avenir, j'ai tendence à changer de chaîne...” Grand corps malade

mardi 1 mars 2011

Toutes les réalité ont commencé par être rêvées...

 Photo prise par moi, plage de mira, été 2009

Il est 2h37 et la seule pensée qui occupe ma tête c'est celle de mon réveil. J'ai sommeil, mais je ne veut pas m'endormir maintenant, parce que je sais que plus vite je vais m'endormir, plus vite je vais me réveiller. Je veux, au moment ou je vais fermer les yeux... Ne plus les ouvrir jusqu'à vendredi soir. Pourquoi vendredi? Parce que vendredi j'aurai de la bonne compagnie, une bonne amie... et surtout de l'alcool, beaucoup d'alcool et de musique. Vendredi je pourrais me vider la tête et qui sait, y mettre un autre jeune homme à ta place... après la soirée, je veux m'endormir à nouveau mais là... je crois que je préférerai ne plus jamais ouvrir à nouveau mes paupières. Si tu savais ce que je donnerai pour ça... Enfin jamais c'est long... disons que le parfait serait jamais tout en arrêtant le temps.