Budapest: Marxim bar
Te voir si proche et te sentir si éloigné... Frôler tes lèvres sans que tu prennes l'initiative de m'embrasser. Te voir m'ignorer sobre avec une telle facilité... et puis te voir me chercher du regard bourré. Recevoir un sms de ta part au moment ou je m'étais convaincue de laisser tomber, me remettre automatiquement a espérer l'impossible. Me provoquer des rêves éveillée... et ne plus vouloir m'endormir pour que ça continue. Te voir reculer après avoir fais un pas de trop, et aussitôt te rattraper pour récupérer mon retard. S'éviter, et puis tout à coup se rentrer dedans assez subitement pour qu'on s'écarte aussitôt l'un de l'autre. Me mettre à espérer ce que je n'ai jamais voulu et ne plus penser au lendemain tellement ces petits instants prennent de l'importance. Ne plus trouver les mots, même en étant bavard et ivre. Toutes ces choses qui me font vivre beaucoup plus qu'elles ne me tuent, et Dieu sait combien elles me pèsent.
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